|
David CHINIAMA, artiste-peintre du Zimbabwe expose en permanence en France, Allemagne et République Tchèque. C’est un artiste très actif qui expose ses oeuvres autant en exposition collective qu’en solo. Paris, Monaco, Avignon, Dordogne, Heidelberg, Francfort, Amsterdam, Angleterre, Cape Town, sans parler des nombreuses expositions chaque année dans sa ville natale, Harare, capitale du Zimbabwe. Il est reconnu pour son étonnante utilisation de la couleur. Il revient probablement en Dordogne en juin/juillet 2015 pour partager avec nous sa passion pour la peinture et nous transmettre sa technique particulière de travail : montrer la vie dans les matières, les reliefs et les couleurs. David CHINYAMA utilise uniquement les quatre couleurs de base, et rarement le pinceau classique, lui préférant le petit rouleau, la spatule, des bouts de carton …… Il propose ses ateliers à tous les ages, aux débutants comme aux artistes confirmés. Pour tout renseignement contactez Shayne Garde-Girardin au 06 03 00 84 20 ou 05 24 13 65 15 ou par email : shaynegirardin@gmail.com.
|
|
|
|
|
|
|
Archives de catégorie : Non classé
Alexander CHITUNGO
Sculpteur d’art Shona du Zimbabwé, il voyage pour promouvoir son art et l’enseigner. Il organise des ateliers de sculpture sur pierre du Zimbabwé dans divers lieux atypiques de France, de la Provence au Périgord. |
Bernard NICOLAS
Un corps qui (s’) interroge (Nantes, novembre 2013) Ils sont vivants. Ne les entendez vous pas. |
||
Ghislain GALLERNEAU
Sa démarche : « Les volumes, les formes et les couleurs qui constituent notre environnement sont incontestablement justes dans leur expression. Ils sont pleinement ce que nous en percevons. Un arbre ne ment pas, un rocher ne ment pas, un coquillage ne ment pas. La main et le regard ne mentent pas. De ce fait, la technique et l’inspiration sont peu de choses sans ce sentiment de véracité intrinsèque que l’artiste cherche à transmettre à sa sculpture et qui parfois nous touche. »
|
|
Ses dates d’expositions en 2015 : – Montauban (82) – du 17 au 27 mars 2015 – Rotary Club de Montauban – Abbaye des Capucins – Grèzes (46) – d’avril à septembre – le Grézalide – Bouillac (12) – du 02 au 25 mai 2015 – Art en liberté – Château de Bouillac – Montauban (82) – du 15 au 28 juin 2015 – Festival sculpture grand sud/Espace Bourdelle – Parisot (82) – du 07 au 09 août – festival international d’art de Parisot – Bonaguil (47) – septembre (dates non encore fixées) – Municipalité de Fumel – Château de Bonaguil |
Melain NZINDOU
Originaire de Brazzaville en République du Congo, Melain NZINDOU est un artiste peintre, plasticien et carnettiste. Depuis son enfance, il dessine des personnages, peint des aquarelles et tout naturellement entre à l’école des beaux Arts « Paul Kamba »de Brazzaville en 1995. Le talent de Melain NZINDOU est vite reconnu, commencent alors des expositions au Congo, au Gabon, en Belgique, en France. Depuis 14 ans, il a posé son chevalet en Charente où il a ouvert sa galerie d’art, atelier. Ses toiles sont l’ essence même de l’ Afrique: scènes de la vie quotidienne aux bleus profonds comme ses « femmes matinales » ou aussi couleurs chaudes celles qui préfère. De la peinture à la récup. Melain NZINDOU garde un pied en France et aussi un pied dans son pays, il a gardé de ses débuts le goût de récupérer différents matériaux et le besoin de travailler avec des pigments naturels, souvent de la terre de la-bas. Après plusieurs expositions et festivals Melain NZINDOU sort son 1er carnet de voyage « Brazza la Verte, Au Coeur du Congo Brazzaville » en novembre 2013, ce carnet part de Brazzaville à la forêt des Pygmées, l’ histoire d’une quête identitaire, celle d’ un jeune peintre exilé, représentant d’une génération que son pays a contraint de fuir suite à des guerres éthiques des plus décevantes. De la terre brute aux huiles de la peinture occidentale, c’est aussi une œuvre complexe qui est ici décrite, un Congo éclatant de couleurs. « Tout au long de mon voyage, je peins. Dessins d’ enfants, de passants, de travailleurs, au marché, dans les nganda (bars), dans la rue… des rencontres inattendues esquissées sur papier. Je recueille aussi les histoires, donne la parole à mes modèles. Croqués, dessinés, je donne à chaque échange toute son importance : le Carnet devient le lieu privilégié de la rencontre. » Puis un deuxième carnet en novembre 2014, Melain Nzindou lève tout doucement le voile sur l’histoire de cette jeunesse qui n’a toujours pas eu des occasions de s’exprimer aussi librement, une jeunesse portant la flamme de toute son existence qui se révèle d’une puissance de partage et d’émotion, il est celui qui porte la voix des milliers d’autres jeunes au travers de ce constat pour une plus grande réflexion … et ce n’est que le début…
|
Sabine BOURDET
|
Après des années de petits bricolages, collages et autres activités manuelles, Sabine BOURDET découvre la peinture en 2013 avec Nicolas BENEDETTI, qui l’initie aux techniques pour mêler enduits, peintures et autres matières. Et c’est naturellement que Sabine BOURDET fait naitre ses bonshommes et autres bestioles comme s’ils sommeillaient en elle depuis des années. Sabine BOURDET est dans une démarche de recherche vers l’émotion, sans souci excessif du beau. « Quand je crée un tableau, je rentre petit à petit en contact avec mes personnages, ils me regardent, je leur souris, on se comprend !! » – « Ce sont les matières qui m’inspirent : Tissus, papiers, dentelle, métal, terre, sable, enduits… » – « Je colle, arrache, gratte, ponce, utilise peinture à l’huile, acrylique, encre de chine, pierre noire…et soudain …ils sont là. » Bienvenue dans l’univers de Sabine BOURDET, et de « son art si singulier ». |
|
Patrick BARDELLI
|
Une nuit de l’hiver 47, Patrick BARDELLI voit le jour au pied des volcans d’Auvergne. Le puy de Dôme dans l’encadrement d’une fenêtre s’offrit alors telle une carte postale à ses yeux, lorsque la nuit se dissipa. Peut-être est-ce cela qui, sans qu’il en eut réellement conscience, aiguisa une curiosité permanente et son regard, qui n’eurent de cesse de provoquer les émotions jalonnant son existence, au long d’une vie somme toute ordinaire qui, n’ayant pas eu à connaître la tragédie de l’Histoire des quelques années noires précédant sa naissance, barrait irrémédiablement la route à tout destin glorieux. Né près de Clermont-Ferrand, une enfance heureuse dans l’Oise puis Paris, sa proche banlieue sud, l’Hérault, l’Aveyron et enfin le Lot, à Saint Martin Labouval. Des études approximatives puis une carrière indépendante d’artisan en réhabilitation de maisons anciennes, entrecoupée et agrémentée d’Artisanat d’Art, de Photographie et de chanson française, permettront d’écarter quelque peu le sentiment de médiocrité d’un parcours modeste. Quelques expositions dans les années 2000 avec des créations de sculptures «lumineuses» en collaboration avec une artiste verrière et des participations à des expositions photographiques en Aveyron à Baraqueville, Montsalès et dans le Lot à Limogne en Quercy et Cajarc. |
|
Mireille REQUISTON
Née à ALES dans le Gard, pays minier, Mireille REQUISTON passe son enfance et son adolescence dans le Midi de la France, au bord de la Méditerranée et dans les Cévennes. Ces deux territoires très différents ont déposé en elle de façon indélébile le goût des paysages sauvages d’une part (les Cévennes) et celui de la lumière de feu qui transfigure tout (la lumière méditerranéenne). Et depuis quelques années, Mireille REQUISTON s’ancre dans le Lot, territoire minéral et sauvage. Après un bac section littéraire, formation universitaire à Paris en conservation-restauration des biens culturels et en histoire de l’art. La dernière partie de sa formation se passera à Florence en Italie, et là ce sera l’éblouissement : partie pour six mois, Mireille REQUISTON restera deux ans, au cours desquels elle va découvrir les bleus de Fra Angelico, la lumière toscane et le secret des sauces de spaghetti.
|
En 1985, Master et licence en poche, difficile retour en France où elle s’installe à Paris dans sa nouvelle vie de restaurateur de peinture de chevalet. Là, Mireille REQUISTON débute sa fréquentation quotidienne de la peinture : sur son chevalet, tous les jours de l’année, se succèdent des tableaux de toutes époques, de tous styles ; le pire comme le meilleur de ce qu’a pu être la production picturale occidentale depuis le Moyen-âge jusqu’à nos jours. C’est à cette école là que Mireille REQUISTON s’est formée en tant que peintre : en côtoyant et observant la peinture des autres. En retenant ce qui méritait de l’être, mais aussi en décelant ce qui était à éviter. Mireille REQUISTON commence à peindre pratiquement en même temps qu’elle débute dans la restauration de peinture. Avec le recul elle analyse cela comme une manière de compenser l’absence de créativité imposée par le respect des œuvres des autres peintres lorsque l’on intervient comme restaurateur. Mireille REQUISTON trouve une forme d’équilibre de cette façon, en alternant restauration et peinture personnelle. |
|
« Depuis 1996, je décide de commencer à montrer ma peinture. » « Mes sources d’inspiration reviennent, toujours les mêmes : les villes, Paris est alors monunivers quotidien, mais aussi les palmiers et les jardins méditerranéens vers lesquels je retourne régulièrement. Je suis également fascinée par les sites industriels qui jalonnent les quais de la Seine ou de la Marne où j’aime à flaner, et qui offrent tout un enchevêtrement de structures et de volumes qui sculptent la lumière. De ces pérégrinations le long des fleuves naitra une série de monotypes, qui sera complétée par des paysages miniers, réminiscences des carreaux de mine cévenols de mon enfance. » « Et puis le ciel, offert chaque jour au regard du peintre, chaque jour différent, l’essence même du changement. Source d’inspiration par excellence, tumultueux ou serein, le ciel est présent dans mon atelier comme un vieux compagnon de route. Au point il y a quelque temps, d’envisager le projet d’accrocher dans un même lieu 365 ciels peints quotidiennement pendant une année. Un format unique, volontairement réduit (20x20cm). Un accrochage linéaire, comme le ruban du temps qui se déroule. La chronique des saisons rassemblée dans ces petits carrés d’azur et d’ondées. »
|
PHOTOS EN LIGNE (service disponible prochainement)
Tirages originaux en cinq exemplaires numérotés de 1 à 5
Impression sur Papier Fujicolor Crystal Archive Type II – 249 g/m² contrecollé sur plaque alu Dibond®
Tarif incluant frais d’emballage et d’expédition :
format carré → 30×30 cm : 100 € -/- 40×40 cm : 126 €
format 3/4 → 30×40 cm : 105 € -/- 45×60 cm : 171 €
Galerie photo
|
|
|
en mai et juin
|
2 |